CDTE 54
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Vous êtes randonneurs

Les règles de prudence en randonnée

Au nombre des règles de prudence nous ajouterons :

  • Conserver les distances entre les chevaux (minimum 1,50 m)
  • Lorsque vous montez un cheval qui botte, signalez-le aux autres cavaliers en attachant un ruban rouge à la queue.
  • Les harnais des attelages porteront au moins un grelot.
  • Ne pas trotter sur le goudron en descente à cause des risques de glissade
  • Ne jamais galoper sur le goudron.
  • Ne pas affoler le bétail en trottant ou galopant sur un chemin longeant un pré.

Les conséquences d’un accident peuvent être graves :

  • il est prudent de porter un casque ou une bombe,
  • de posséder un téléphone portable et d’être bien assuré, pour soi même et les chevaux.
  • Les Cavaliers devront être porteurs d’une licence de cavalier avec assurance.

La charte éthique du cavalier de pleine nature

Je respecte mon cheval

  • Je monte ou j’attèle un cheval en bonne santé, sans blessure, adapté à mon niveau et à l’effort demandé.
  • J’utilise un harnachement qui convient à ce cheval et à l’activité prévue.
  • Pour voyager loin, je ménage ma monture en gérant son allure selon sa condition physique, la nature du terrain et le relief.
  • Je prévois sur mon parcours suffisamment de points d’eau pour que mon cheval s’abreuve et, lorsque je pars longtemps, j’emporte pour lui une nourriture adaptée à l’effort qu’il va fournir.

Je respecte la nature et les espaces que je traverse

  • J’apprends à connaître la faune, la flore, la géologie et les sites rencontres sur mon parcours.
  • Les seuls souvenirs que je prends de ma randonnée sont des photos.
  • J’évite toute cueillette : ce n’est pas parce qu’une espèce végétale est abondante ici qu’elle n’est pas rare ailleurs.
  • Pour éviter que mon cheval piétine des espèces sauvages ou cultivées et qu’il provoque l’érosion des sols fragiles, je ne sors pas des chemins et sentiers, je ne traverse ni les cultures ni les plantations.
  • Je n’effraie pas les animaux en pâture et je referme derrière moi les barrières que j’ai ouvertes.
  • Je ne jette rien, je ne laisse derrière moi que la trace des pas de mon cheval.
  • Je signale les anomalies rencontrées sur mon parcours comme les départs de feux, les animaux errants, les éboulements ou les décharges sauvages.

Je respecte les autres utilisateurs de l’espace naturel

  • Je suis courtois avec toutes les personnes rencontrées sur mon parcours.
  • Quand je croise des promeneurs, je ralentis l’allure et je prends mes distances.
  • En période de chasse, je suis vigilant et j’évite les zones de battue.
  • Je suis prévoyant
  • Je choisis un équipement qui garantit ma sécurité.
  • J’informe un tiers de mon départ et des grandes lignes de mon itinéraire.

J’emporte toujours dans mes sacoches :

  • Une trousse de premiers secours humains et équins ;
  • Un couteau et une lampe de poche ;
  • Un cure-pieds en promenade et un nécessaire de maréchalerie en randonnée ;
  • Un peu de monnaie et un téléphone portable.

 

Je reste visible par tous temps et à toute heure en m’habillant de couleurs claires et en portant des bandes réfléchissantes de nuit.
Ces précautions ne nous dispensent pas, avant de partir, de nous informer sur nos droits et devoirs. Renseignons nous notamment sur le code de la route, le code forestier, le code rural, le règlement des réserves naturelles et des espaces protégés, sur les règles qui régissent la circulation à cheval et sur l’ensemble des dispositions relatives à la propriété privée.

Les règles de circulation

Sur la voie publique, le cavalier est considéré comme un conducteur, tout comme l’automobiliste ou le cycliste. Par conséquent, il doit se conformer à toutes les règles du code de la route applicables sur les conducteurs. S’il met pied à terre et marche à côté de sa monture, le cavalier reste conducteur aussi longtemps qu’il se trouve sur la voie publique.
Tout comme les autres chauffeurs, il doit être continuellement en mesure de réaliser toutes les manœuvres nécessaires. Il lui appartient donc de parfaitement maîtriser sa monture lorsque cette dernière sursaute par exemple en raison d’un avion, d’un camion ou de phares de voiture.
Selon la loi, les cavaliers doivent avoir l’âge requis de 14 ans pour circuler sur la voie publique. Cet âge est toutefois ramené à 12 ans, à condition que l’on soit accompagné d’un cavalier âgé de 21 ans.
A l’instar des autres conducteurs, les cavaliers doivent circuler le plus près du bord droit de la voie. Les conducteurs d’animaux de trait non attelés, de bêtes de charge ou de montures ou de bestiaux peuvent, en dehors de l’agglomération, circuler sur les accotements de plain-pied à droite par rapport de leur sens de marche, à condition qu’ils n’occasionnent pas de danger aux autres usagers de la route. Les cavaliers peuvent circuler à deux de front sur la voie, mais si un cavalier conduit sur l’accotement de plain-pied, tous les autres doivent circuler en une file.
Le code de la route stipule que les pistes cyclables et les trottoirs sont interdits aux cavaliers. En plus, il y a des règles particulières applicables sur les chemins réservés aux piétons, cyclistes et cavaliers. Ces derniers doivent indiquer tout changement de direction via un geste du bras. Attention ! Dans l’agglomération, il est également interdit de faire/laisser galoper des animaux montés.
Des groupes d’au moins 10 cavaliers peuvent-être accompagnés par un convoyeur, qui veille au bon déroulement de l’excursion. Ce convoyeur doit être âgé de 21 ans et porter au bras gauche un brassard aux couleurs nationales. Aux carrefours, où la circulation n’est pas réglée par des feux de signalisation, le convoyeur est habilité à arrêter la circulation dans les rues de traverse pendant la traversée du groupe. A cet effet, il doit utiliser un disque représentant le panneau indicateur C3. 

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